Nous voulons toujours être les sentinelles de notre Terre !
Selon Le Courrier de l’UNESCO, le terme d'anthropocène « rend compte de l'impact sur le climat et la biodiversité de l'accumulation accélérée de gaz à effet de serre, ainsi que des dégâts irréversibles causés par la surconsommation des ressources naturelles ». Inondations, sécheresses, chaleurs intenses, incendies, extinction des espèces, pollution des sols, etc..
Que nous réserve le futur ? Comment pouvons-nous agir pour limiter le dérèglement climatique et ses effets? Ces problèmes soulèvent des questions que les médias nous rappellent quelques fois, auxquels nous tentons de répondre. Nos camarades des années scolaires précédentes ont interrogé l’efficacité des écogestes dans la préservation de l’environnement : ils ont démontré que les écogestes individuels sont insuffisants, et qu’il doit y avoir des décisions d’ordre politique, telles que des contraintes sur les grandes entreprises les plus polluantes, par exemple.D'autres ont écrit des dystopies en s'appuyant sur un scénario du dernier rapport du GIEC. D'autres enfin sont allés porter des propositions au Parlement Européen en interrogeant la justice climatique.
Nous prenons le relais et réaliserons, entre autres, un court-métrage dans le but de sensibiliser le monde à ces questions que nous ne pouvons plus nier ou ignorer.
Nous avons d'abord assisté à une conférence prononcée par Valérie Masson Delmotte, paléoclimatologue, co-auteure du dernier rapport du GIEC; avant la conférence, nous avons pu nous entretenir avec elle.